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À LIRE ET RELIRELe pape François et la dictature argentine: un nouveau scandale menace le Vatican
Plusieurs journalistes et chercheurs argentins l'accusent d'avoir collaboré avec les militaires, notamment d’avoir facilité le kidnapping de deux prêtres et d'avoir fermé les yeux sur l’enlèvement d’enfants de dissidents pendant la dictature de Videla.
nnes disparues, à Buenos Aires en 1987. REUTERS/Enrique Shore -
En prenant la relève de Benoît XVI, l’Argentin Jorge Mario Bergoglio, devenu mardi le pape François, hérite d’un Vatican en crise et d’une Eglise accusée de corruption. Mais l’institution dont il prend la tête n’est pas la seule sous attaque. Bergoglio lui-même est incriminé par plusieurs journalistes et chercheurs dans son pays pour avoir collaboré avec la dictature militaire entre 1976 et 1983. Le nouveau pape, de son côté, a toujours nié ces accusations, dont celle d’avoir facilité le kidnapping de deux prêtres au début de la dictature de Jorge Rafael Videla. Provincial (responsable) de l’ordre jésuite d’Argentine entre 1973 et 1979, il aurait dénoncé Orlando Yorio et Francisco Jalics, ou du moins implicitement permis leur arrestation.Cette imputation a d’abord été évoquée en 1986 par Emilio Mignone, alors président du Centre d’études légales et sociales, une organisation non-gouvernementale de défense des droits de l’homme créée contre la Junte. Dans son livre Iglesia y Dictadura («Eglise et dictature»), Mignone prenait l’exemple de Bergoglio pour illustrer «la sinistre complicité» de religieux avec les militaires, affirmant que le supérieur jésuite avait «donné son feu vert» pour l’arrestation des prêtres.
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Disparus pendant cinq mois, Orlando Yorio et Francisco Jalics avaient
mis en place une mission dans le quartier défavorisé de Bajo Flores.
Bergoglio leur aurait demandé de partir à la veille du coup d’Etat
militaire. Ceux-ci ayant refusé, il leur aurait intimé de quitter la
Compagnie de Jésus afin de pouvoir lui désobéir.Une semaine avant d’être arrêtés, ceux-ci s’étaient donc vus confisquer leur sacerdoce, un geste qui leur retirait la protection de l’Eglise. Après leur libération, seul Yorio avait accepté de s’exprimer sur la question. Interviewé par le journaliste (très anticlérical) Horacio Verbitsky, il affirmait que Bergoglio avait fait en sorte qu’aucun évêque de la région n’accepte de les rattacher à son diocèse, une fois privés de leur sacerdoce.
«Tous nous recevaient, se souvenait Yorio, depuis décédé, mais très vite, leur arrivait un avertissement qui parlait de graves secrets contre nous, ce qui les empêchait de nous accueillir dans leur diocèse. Quand on leur demandait pourquoi, ils nous répondaient qu’on devrait poser la question à notre Provincial.» Le prêtre ajoutait «douter que Bergoglio nous ait libérés, au contraire.»
Dans une tribune publiée ce jeudi matin, Horacio Verbitsky, l’un des premiers journalistes à relayer les accusations contre Bergoglio dans l’affaire des prêtres jésuites, cite un mail de la soeur de Yorio:
«Je n'arrive pas à y croire, il a réussi à faire ce qu'il voulait. Je revois Orlando dans la salle à manger de la maison qui me dit “lui, il veut être pape”. C'est la personne parfaite pour cacher la pourriture [du Vatican]. C'est un expert de la dissimulation.»
A cause de ces accusations, le chef jésuite devenu archevêque de Buenos Aires a dû témoigner au procès intenté au nom des deux jésuites contre la dictature, en 2010.
Le vol d’enfants sous la dictature
Autre chef d’accusation contre le nouveau pape: il aurait fermé les yeux sur l’enlèvement d’enfants de dissidents pendant la dictature. «Pourquoi ne citez-vous pas Bergoglio à comparaître?», s'était enquise, lors d’un autre procès contre la Junte, Estela de la Cuadra, fille de la première présidente des Grands-mères de la place de Mai, la célèbre association qui cherche à retrouver les enfants volés aux victimes du régime militaire.Estela, dont la sœur Elena est une «desaparecida», possède des lettres envoyées par son père à Bergoglio quand il était à la tête des jésuites. Il y demande de l’aide pour retrouver sa fille et sa petite-fille, celle-ci étant née après l’enlèvement. «Comment se fait-il qu’il prétende n’être au courant du vol d’enfants que depuis dix ans?», demandait Estela à la justice argentine en 2011.
La dissimulation des camps de torture de l’Esma
Horacio Verbitsky porte un dernier coup à l’image du pontife avec son enquête El Silencio.Publié très à propos juste après l’élection de Ratzinger au Saint-Siège, le livre raconte l’histoire de l’île du Tigre où les prisonniers du camp de torture de l’Esma avaient été cachés de la Commission interaméricaine des droits de l’homme à la fin des années 1970. Verbitsky rapporte qu’à l’origine, l’île appartenait à l’archevêché de Buenos Aires. Elle aurait été vendue à l’armée argentine, sous un faux nom, par un religieux alors secrétaire du vicariat militaire, Emilio Teodoro Grasselli. Encore une fois, Bergoglio nie avoir eu connaissance de l’existence de l’île.
Alors, compromis avec la dictature argentine, le nouveau pape? Probablement pas plus que la hiérarchie religieuse du pays, passive, indifférente à l’horreur, sinon complice de la Junte. La morale peut condamner Jorge Bergoglio. L’histoire aussi: «Elle le montre comme quelqu’un d’opposé à toutes les innovations de l’Eglise, et surtout, pendant la dictature, on le découvre très proche du pouvoir militaire», a affirmé Horacio Mallimaci, l’ancien doyen de l’université de sciences sociales de l’université de Buenos Aires, au sujet de l’ancien cardinal argentin.
ÉSUITES ET LEUR COMMUNISME COMME PAYS PROLÉTARISÉS AU SERVICES DES ARISTOCRATES RELIGIEUX
''Mais
je voudrais ausi souligner qu'il ne nous faut pas n'accuser que la
Couronne de Londres, les États-Unis, le G08 ou le Vatican et ses
Jésuites MAIS NOUS TOUS si..... nous avons les mêmes mentalités que ces
eugénistes'', Viny Eden
DEVISE DES JÉSUITES: ''nous sommes toujours des 2 côtés''
Le serment secret des Jésuites
On sait que les Jésuites forment l'une des armées secrètes du Pape. Leur devise est bien connue: "La fin justifie les moyens," toujours "pour la plus grande gloire de Dieu" !
Le Serment satanique des Jésuites ...... "Mon fils, jusqu'à présent on t'a enseigné à maîtriser l'art de la dissimulation: à être un Catholique Romain parmi les Catholiques Romains, et même à être un espion parmi tes propres frères ; à ne croire aucun homme, à ne faire confiance à aucun homme ; parmi les Réformés, à être un Réformé; parmi les Huguenots, à être un Huguenot ; parmi les Calvinistes, à être un Calviniste; parmi les autres Protestants, à être en général un autre Protestant; à obtenir leur confiance, et même à t'efforcer de prêcher du haut de leurs pupitres ; à dénoncer avec toute la véhémence dont tu es capable notre Sainte Religion et le Pape; et même à t'abaisser jusqu'à te faire Juif parmi les Juifs, afin de pouvoir rassembler toutes les informations nécessaires à ton Ordre, en tant que fidèle soldat du Pape.
"On t'a enseigné à planter insidieusement des semences de jalousie et de haine entre les communautés, les provinces, et les États qui étaient en paix; à les inciter à commettre des actes sanglants; à les provoquer à la guerre les uns avec les autres, et à déclencher des révolutions et des guerres civiles dans des pays qui étaient indépendants et prospères ; à cultiver les arts et les sciences et à jouir des bienfaits de la paix; à te ranger aux côtés des combattants et à agir secrètement avec tes frères Jésuites qui pourraient être engagés dans la partie adverse, tout en étant ouvertement opposés à la cause que tu défends; pour la seule raison que l'Église puisse toujours être du côté des vainqueurs, dans les conditions fixées dans les traités de paix, et parce que la fin justifie les moyens.
"On t'a enseigné à travailler comme un espion, à recueillir tous les faits, statistiques et informations qui sont en ton pouvoir, de toutes les sources possibles; à gagner la confiance des Protestants et des hérétiques de toutes sortes, jusque dans leurs familles ; à gagner la confiance des commerçants, des banquiers, des avocats, de ceux qui travaillent dans les écoles et les universités, dans les Parlements et les législatures, dans les tribunaux et les Conseils d'État, et dans toutes les institutions des hommes, au profit du Pape, dont nous sommes les serviteurs jusqu'à la mort.
............... "Je déclare aussi et je promets que je n'aurai jamais aucune opinion ni volonté personnelles, aucune réserve mentale, même jusqu'à la mort (perinde ac cadaver), mais que j'obéirai sans hésiter à tous les commandements que je pourrai recevoir de mes supérieurs dans la milice du Pape et de Jésus-Christ ; que j'irai dans toutes les parties du monde où je serai envoyé, dans les régions glacées du Nord, dans les jungles de l'Inde, dans les centres de civilisation de l'Europe, ou dans les endroits sauvages où vivent les tribus barbares de l'Amérique, sans murmurer ni me plaindre, mais en étant soumis dans toutes les choses qui m'auront été communiquées.
"Je m'engage à toujours voter pour un Chevalier de Colomb (NDE: Knight of Colombus, Ordre secret Catholique), de préférence à un Protestant, et surtout à un Franc-Maçon, même s'il faut quitter mon parti pour cela; si deux Catholiques s'affrontent dans une élection, je voterai pour celui qui défendra le mieux notre Mère l'Église. Je ne conclurai aucun contrat, ni n'emploierai aucun Protestant, s'il est en mon pouvoir d'employer, ou de faire affaire avec un Catholique. Je m'efforcerai de placer des jeunes filles Catholiques dans des familles Protestantes, pour recevoir chaque semaine un rapport sur les activités privées de ces hérétiques. Je me fournirai les armes et les munitions nécessaires, pour pouvoir les utiliser quand on me le demandera, ou quand je recevrai l'ordre de défendre l'Église, soit en tant qu'individu, soit avec la milice du Pape.
..... suite du serment abominable .....
"Tout cela, moi, … , je jure, au nom de la Sainte Trinité, et du Saint sacrement que je vais maintenant prendre, de l'observer, selon le serment que je prononce. En témoignage de quoi, je prends ce très Saint sacrement de l'Eucharistie, et confirme mon témoignage par mon nom écrit à la pointe de cette dague, trempée dans mon propre sang, en le scellant en présence de ce Saint sacrement."
(Il reçoit ensuite l'hostie (le dieu galette) du son Supérieur, et écrit son nom à la pointe de sa dague, trempée dans son propre sang, après l'avoir prélevé au-dessus de son cœur).
L'Opus Dei a sans doute pris la succession de l'Ordre des Jésuites, comme fer de lance de la Contre-Réforme engagée par Rome. Nous espérons avoir l'occasion de vous présenter un jour plus en détail l'organisation et les activités de l'Opus Dei.
Jean-Baptiste Janssens avait un plan, qui consistait à éliminer le plus grand nombre possible de bouddhistes, car ces derniers étaient depuis toujours les ennemis des jésuites. Quand les Jésuites investirent le Japon en 1873, que firent-ils ? Ils déclarèrent hors-la-loi la religion bouddhiste et firent en sorte que le gouvernement du Japon ne la tolère plus.
Souvenez vous, en effet : à l'origine, la CIA fut fondée par Reinhard Gehlen, un ancien général nazi, le plus sinistre de tous les généraux d'Hitler.
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Impôts zéro OU taxes que les multinationales prêtes-noms britanniques
Doivent donner
aux royautés et qu’on appelle ‘’paradis fiscaux’’ , ‘’paradis fiscaux’’ pour la
Couronne Britannique surtout
Si vous
étiez riche, vous ne déposeriez jamais vos argents en banques, ni ne les feriez
geler dans des soi-disant ‘’paradis fiscaux’’ que pour les royautés qui
cherchent à savoir ce que vous possédez…. NON, NON et NON, vous cacheriez vos
fortunes dans des coffres ou dans des endroits secrets comme d’ailleurs le font
plusieurs…..
Plusieurs points noirs, communs aux deux archipels, leur valent cette place.
Les îles Caïmans, coincées entre Cuba et la Jamaïque, tout comme les îles Vierges britanniques, situées à l'est de Porto Rico, dans les
Caraïbes, ne tiennent pas de registre public des bénéficiaires des
sociétés et ne permettent pas «un accès approprié» à l'information bancaire,
malgré la signature d'accords de coopération. Pour les sociétés offshore
offrant des prestations immatérielles de services ou encore de conseil - et
dont la création se fait en un à trois jours - la tenue d'une comptabilité
n'est pas obligatoire, tout comme la publication annuelle de comptes. Seuls les
statuts de la société sont rendus publics. La Banque du Vatican :
un vrai paradis fiscal sur terre ! Le siège de l'IOR est un écrin de pierre à l'intérieur des murs du Vatican. Une tour typique du XIVième siècle, construite sous le pape Nicolas V, avec des murs épais de neuf mètres à la base. On entre par une porte discrète, sans indication ni sigle ni symbole. Seule la garnison de la Garde suisse présente nuit et jour en signale l'importance. À l'intérieur on trouve une grande salle informatique avec de très nombreux ordinateurs, une seule porte et un unique distributeur de billets automatique. À travers ce trou d'aiguille passent en fait d'immenses et même d'obscures fortunes. Les estimations les plus prudentes calculent 5 milliards d'euros (7,9 milliards de dollars canadien) en dépôts bancaires.
La banque vaticane offre à ses clients, parmi lesquels a reconnu l'ancien président de l'IOR, Angelo Caloia, "ceux aussi qui avaient des problèmes avec la justice", des rendements supérieurs aux meilleurs "Hedge Fund" et un avantage inestimable : un secret total. Complètement imperméable aux contrôles des îles Caïmans où l'IOR dispose d'importants fonds de pension, plus réservée encore que les banques suisses, la banque du Vatican est un véritable paradis (fiscal) sur terre. D'ailleurs, un carnet de chèques avec le sigle IOR n'existe pas. Tous les dépôts et les transactions d'argent se font par virements, en espèces ou en lingots d'or. Mais sans laisser aucune trace.
Il y a vingt ans, lorsque s'est terminé le procès de la "Banco Ambrosiano", l'IOR était un immense trou noir sur lequel personne n'osait se pencher et encore moins regarder. Pour sortir du krach qui avait ruiné des dizaines de milliers de familles, la banque vaticane versa 406 millions de dollars aux liquidateurs. Moins du quart de la somme par rapport aux 1 159 millions de dollars dus selon le ministre du Trésor de l'époque, Beniamino Andreatta.
Concernant les intrigues de la banque du Vatican, le voile d'une autre affaire vieille de dix ans tomba et mit à mal les positions des "monsignori" des palais apostoliques. Le 10 juillet 2007, le chef d'un autre clan de la mafia, le "furbetti", Giampiero Fiorani, raconta aux magistrats alors qu'il était en prison : « À la BSI suisse, il y a trois comptes du Saint-Siège qui sont, sans exagérer, d'un montant estimé entre deux et trois milliards d'euros (3,1 et 4,7 milliards de dollars canadien) ». Et Fiorani de poursuivre sa confession au procureur de Milan, Francesco Greco, en reconnaissant des versements au noir effectués dans les caisses vaticanes : « Les premières sommes, je les ai données au cardinal Castillo Lara (président de l'Apsa, l'administration du Patrimoine immobilier de l'Église NDLR) lorsque le Vatican a acheté une banque milanaise la "Cassa Lombarda". Il m'a demandé trente milliards de lires (15,4 millions d'euros / 24,6 millions de dollars canadien), pour les mettre probablement sur un compte à l'abri à l'étranger ». D'autres versements suivirent, très nombreux à en juger par les informations du même Fiorani lors de ses rencontres avec le cardinal Giovanni Battista Re, le puissant préfet de la Congrégation des évêques et bras droit du vicaire de Rome. Pour éviter un énorme scandale le Vatican lâcha rapidement Fiorani, mais en compensation défendit le banquier Antonio Fazio, proche de l'Opus Dei, jusqu'à la veille de sa démission de responsable de la "Bankitalia" et après avoir été abandonné par tout le monde. "Avvenire", le quotidien des évêques italiens et "l'Osservatore Romano", le quotidien du Vatican, répétèrent à l'envi, et cela jusqu'au dernier jour de Fazio à la "Bankitalia", la théorie du "complot politique" à l'encontre du gouverneur qui sera retrouvé quelque temps plus tard assassiné.
L'Église
catholique aujourd'hui a plus d'influence et de pouvoir sur les banques
qu'à l'époque de la Démocratie chrétienne. C'est dire !
Le pape Benoît a démissionné pour éviter à Pâques son arrestation et la saisie des richesses de l'église. Une note diplomatique a été envoyé au Vatican juste avant la démission.
Le nouveau
pape et le clergé catholique font face à une accusation et à une
arrestation par la poursuite du plan de la ''Réclamation de
Pâques''.
Publication médiatique mondiale et déclaration du Tribunal International pour les Crimes des Églises et des États (ITCCS).
Bruxelles :
La démission
historiquement sans précédent cette semaine du pape Joseph Ratzinger a
été imposée par l'action imminente d'un gouvernement
européen qui demande pour Pâques un mandat d'arrêt contre Ratzinger
et un nantissement public contre les propriétés et actifs du Vatican.
Le Bureau
Central de l'ITCCS de Bruxelles est contraint par la soudaine abdication
du pape Benoît à révéler les détails suivants :
1. Le 1er
février 2013, sur la base de preuves fournies par notre Cour affiliée de
Justice de droit commun (itccs.org), notre Bureau a
conclu un accord avec les représentants d'une nation européenne et
ses tribunaux à garantir un mandat d'arrêt contre Joseph Ratzinger,
alias le pape Benoît, pour crimes contre l'humanité et pour
avoir ordonné une conspiration criminelle.
2. Ce mandat
d'arrêt devait être délivré au bureau du ''Saint-Siège'' à Rome, le
vendredi 15 février 2013. Il permettait à la nation en
question de consigner Ratzinger en tant que suspect criminel s'il
pénétrait son territoire souverain.
3. Une note
diplomatique a été émise par le gouvernement de la dite nation au
secrétaire de l'état du Vatican, le cardinal Tarcision
Bertone, le lundi 4 février 2013, informant Bertone du prochain
mandat d'arrêt et invitant son bureau à s'y soumettre. Aucune réponse à
cette note n'a été renvoyée par le cardinal Bertone ou son
bureau ; mais 6 jours plus tard, le pape Benoît démissionnait.
4. L'accord
entre notre Tribunal et la dite nation comportait une deuxième
disposition, l'émission d'un nantissement commercial par
l'intermédiaire des tribunaux de cette nation contre les propriétés
et richesses de l'église catholique romaine à compter du dimanche de
Pâques, le 31 mars 2013. ce nantissement devait
s'accompagner de la ''Campagne de Réclamation de Pâques'', par
laquelle les biens de l'église catholique devaient être saisis et
revendiqués par des citoyens en tant qu'actifs confisqués en vertu
d'une loi internationale et la loi romaine du tribunal criminel
international.
5. C'est en
décision de notre Tribunal et de celle du gouvernement de la dite nation
de procéder à l'arrestation de Joseph Ratzinger afin
qu'il quitte le poste de pontife romain sous l'inculpation de crimes
contre l'humanité et de conspiration criminelle.
6. C'est de
plus notre décision d'inculper et d'arrêter pour les mêmes charges le
pape qui succédera à Joseph Ratzinger ; et d'appliquer
le nantissement commercial et la ''Campagne de la Réclamation de
Pâques'' contre l'église catholique romaine, comme prévu.
Pour
terminer, notre Tribunal reconnaît que la complicité du pape Benoît dans
les activités criminelles de la Banque du Vatican (IOR) l'a
forcé à sa démission finale par des officiels très haut placés du
Vatican.
Mais selon
nos sources, le secrétaire d'état Tarcisio Bertone a intimé
immédiatement à Joseph Ratzinger de démissionner et cela en réponse
directe à la note diplomatique concernant le mandat d'arrêt émis
contre lui le 4 février 2013 par le gouvernement de la dite nation.
Nous en
appelons à tous les citoyens et gouvernements à assister nos efforts
pour dissoudre directement le Vatican and Co, et arrêter ses
officiers en chef et le clergé complices de crimes contre l'humanité
et de la conspiration criminelle en cours, pour apporter aide et
protection contre la torture et le trafic d'enfants.
D'autres bulletins concernant la Campagne de Réclamation de Pâques seront publiés par notre Bureau cette semaine.
Publié le 13 février 2013 à 12h GMT par le Bureau Central de Bruxelles
SOURCE
Traduit par Hélios pour le BBB.
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