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À LIRE ET RELIREImpôts zéro OU taxes que les multinationales prêtes-noms britanniques
Doivent donner
aux royautés et qu’on appelle ‘’paradis fiscaux’’ , ‘’paradis fiscaux’’ pour la
Couronne Britannique surtout
Si vous
étiez riche, vous ne déposeriez jamais vos argents en banques, ni ne les feriez
geler dans des soi-disant ‘’paradis fiscaux’’ que pour les royautés qui
cherchent à savoir ce que vous possédez…. NON, NON et NON, vous cacheriez vos
fortunes dans des coffres ou dans des endroits secrets comme d’ailleurs le font
plusieurs…..
Plusieurs points noirs, communs aux deux archipels, leur valent cette place.
Les îles Caïmans, coincées entre Cuba et la Jamaïque, tout comme les îles Vierges britanniques, situées à l'est de Porto Rico, dans les
Caraïbes, ne tiennent pas de registre public des bénéficiaires des
sociétés et ne permettent pas «un accès approprié» à l'information bancaire,
malgré la signature d'accords de coopération. Pour les sociétés offshore
offrant des prestations immatérielles de services ou encore de conseil - et
dont la création se fait en un à trois jours - la tenue d'une comptabilité
n'est pas obligatoire, tout comme la publication annuelle de comptes. Seuls les
statuts de la société sont rendus publics. La Banque du Vatican :
un vrai paradis fiscal sur terre ! Le siège de l'IOR est un écrin de pierre à l'intérieur des murs du Vatican. Une tour typique du XIVième siècle, construite sous le pape Nicolas V, avec des murs épais de neuf mètres à la base. On entre par une porte discrète, sans indication ni sigle ni symbole. Seule la garnison de la Garde suisse présente nuit et jour en signale l'importance. À l'intérieur on trouve une grande salle informatique avec de très nombreux ordinateurs, une seule porte et un unique distributeur de billets automatique. À travers ce trou d'aiguille passent en fait d'immenses et même d'obscures fortunes. Les estimations les plus prudentes calculent 5 milliards d'euros (7,9 milliards de dollars canadien) en dépôts bancaires.
La banque vaticane offre à ses clients, parmi lesquels a reconnu l'ancien président de l'IOR, Angelo Caloia, "ceux aussi qui avaient des problèmes avec la justice", des rendements supérieurs aux meilleurs "Hedge Fund" et un avantage inestimable : un secret total. Complètement imperméable aux contrôles des îles Caïmans où l'IOR dispose d'importants fonds de pension, plus réservée encore que les banques suisses, la banque du Vatican est un véritable paradis (fiscal) sur terre. D'ailleurs, un carnet de chèques avec le sigle IOR n'existe pas. Tous les dépôts et les transactions d'argent se font par virements, en espèces ou en lingots d'or. Mais sans laisser aucune trace.
Il y a vingt ans, lorsque s'est terminé le procès de la "Banco Ambrosiano", l'IOR était un immense trou noir sur lequel personne n'osait se pencher et encore moins regarder. Pour sortir du krach qui avait ruiné des dizaines de milliers de familles, la banque vaticane versa 406 millions de dollars aux liquidateurs. Moins du quart de la somme par rapport aux 1 159 millions de dollars dus selon le ministre du Trésor de l'époque, Beniamino Andreatta.
Concernant les intrigues de la banque du Vatican, le voile d'une autre affaire vieille de dix ans tomba et mit à mal les positions des "monsignori" des palais apostoliques. Le 10 juillet 2007, le chef d'un autre clan de la mafia, le "furbetti", Giampiero Fiorani, raconta aux magistrats alors qu'il était en prison : « À la BSI suisse, il y a trois comptes du Saint-Siège qui sont, sans exagérer, d'un montant estimé entre deux et trois milliards d'euros (3,1 et 4,7 milliards de dollars canadien) ». Et Fiorani de poursuivre sa confession au procureur de Milan, Francesco Greco, en reconnaissant des versements au noir effectués dans les caisses vaticanes : « Les premières sommes, je les ai données au cardinal Castillo Lara (président de l'Apsa, l'administration du Patrimoine immobilier de l'Église NDLR) lorsque le Vatican a acheté une banque milanaise la "Cassa Lombarda". Il m'a demandé trente milliards de lires (15,4 millions d'euros / 24,6 millions de dollars canadien), pour les mettre probablement sur un compte à l'abri à l'étranger ». D'autres versements suivirent, très nombreux à en juger par les informations du même Fiorani lors de ses rencontres avec le cardinal Giovanni Battista Re, le puissant préfet de la Congrégation des évêques et bras droit du vicaire de Rome. Pour éviter un énorme scandale le Vatican lâcha rapidement Fiorani, mais en compensation défendit le banquier Antonio Fazio, proche de l'Opus Dei, jusqu'à la veille de sa démission de responsable de la "Bankitalia" et après avoir été abandonné par tout le monde. "Avvenire", le quotidien des évêques italiens et "l'Osservatore Romano", le quotidien du Vatican, répétèrent à l'envi, et cela jusqu'au dernier jour de Fazio à la "Bankitalia", la théorie du "complot politique" à l'encontre du gouverneur qui sera retrouvé quelque temps plus tard assassiné.
L'Église
catholique aujourd'hui a plus d'influence et de pouvoir sur les banques
qu'à l'époque de la Démocratie chrétienne. C'est dire !
Le pape Benoît a démissionné pour éviter à Pâques son arrestation et la saisie des richesses de l'église. Une note diplomatique a été envoyé au Vatican juste avant la démission.
Le nouveau
pape et le clergé catholique font face à une accusation et à une
arrestation par la poursuite du plan de la ''Réclamation de
Pâques''.
Publication médiatique mondiale et déclaration du Tribunal International pour les Crimes des Églises et des États (ITCCS).
Bruxelles :
La démission
historiquement sans précédent cette semaine du pape Joseph Ratzinger a
été imposée par l'action imminente d'un gouvernement
européen qui demande pour Pâques un mandat d'arrêt contre Ratzinger
et un nantissement public contre les propriétés et actifs du Vatican.
Le Bureau
Central de l'ITCCS de Bruxelles est contraint par la soudaine abdication
du pape Benoît à révéler les détails suivants :
1. Le 1er
février 2013, sur la base de preuves fournies par notre Cour affiliée de
Justice de droit commun (itccs.org), notre Bureau a
conclu un accord avec les représentants d'une nation européenne et
ses tribunaux à garantir un mandat d'arrêt contre Joseph Ratzinger,
alias le pape Benoît, pour crimes contre l'humanité et pour
avoir ordonné une conspiration criminelle.
2. Ce mandat
d'arrêt devait être délivré au bureau du ''Saint-Siège'' à Rome, le
vendredi 15 février 2013. Il permettait à la nation en
question de consigner Ratzinger en tant que suspect criminel s'il
pénétrait son territoire souverain.
3. Une note
diplomatique a été émise par le gouvernement de la dite nation au
secrétaire de l'état du Vatican, le cardinal Tarcision
Bertone, le lundi 4 février 2013, informant Bertone du prochain
mandat d'arrêt et invitant son bureau à s'y soumettre. Aucune réponse à
cette note n'a été renvoyée par le cardinal Bertone ou son
bureau ; mais 6 jours plus tard, le pape Benoît démissionnait.
4. L'accord
entre notre Tribunal et la dite nation comportait une deuxième
disposition, l'émission d'un nantissement commercial par
l'intermédiaire des tribunaux de cette nation contre les propriétés
et richesses de l'église catholique romaine à compter du dimanche de
Pâques, le 31 mars 2013. ce nantissement devait
s'accompagner de la ''Campagne de Réclamation de Pâques'', par
laquelle les biens de l'église catholique devaient être saisis et
revendiqués par des citoyens en tant qu'actifs confisqués en vertu
d'une loi internationale et la loi romaine du tribunal criminel
international.
5. C'est en
décision de notre Tribunal et de celle du gouvernement de la dite nation
de procéder à l'arrestation de Joseph Ratzinger afin
qu'il quitte le poste de pontife romain sous l'inculpation de crimes
contre l'humanité et de conspiration criminelle.
6. C'est de
plus notre décision d'inculper et d'arrêter pour les mêmes charges le
pape qui succédera à Joseph Ratzinger ; et d'appliquer
le nantissement commercial et la ''Campagne de la Réclamation de
Pâques'' contre l'église catholique romaine, comme prévu.
Pour
terminer, notre Tribunal reconnaît que la complicité du pape Benoît dans
les activités criminelles de la Banque du Vatican (IOR) l'a
forcé à sa démission finale par des officiels très haut placés du
Vatican.
Mais selon
nos sources, le secrétaire d'état Tarcisio Bertone a intimé
immédiatement à Joseph Ratzinger de démissionner et cela en réponse
directe à la note diplomatique concernant le mandat d'arrêt émis
contre lui le 4 février 2013 par le gouvernement de la dite nation.
Nous en
appelons à tous les citoyens et gouvernements à assister nos efforts
pour dissoudre directement le Vatican and Co, et arrêter ses
officiers en chef et le clergé complices de crimes contre l'humanité
et de la conspiration criminelle en cours, pour apporter aide et
protection contre la torture et le trafic d'enfants.
D'autres bulletins concernant la Campagne de Réclamation de Pâques seront publiés par notre Bureau cette semaine.
Publié le 13 février 2013 à 12h GMT par le Bureau Central de Bruxelles
SOURCE
Traduit par Hélios pour le BBB.
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