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samedi 3 décembre 2011

JEAN DRAPEAU, MAIRE DE QUÉBEC, A MILITÉ CONTRE LA CONSCRIPTION

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De plus, la justification pour la guerre est de plus en plus vue, au Québec, en termes des intérêts impérialistes illégitimes des Britanniques. La plupart des Canadiens-Français, menés par Henri Bourassa, ne ressentent aucune loyauté particulière, ni envers le Royaume-Uni, ni envers la France. En effet, Bourassa affirme que les Québécois ont un pays : le Canada, tandis que les Canadiens anglais en ont deux : le Royaume-Uni et le Canada.

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Canada..... Les francophones, dont Henri Bourassa, s'opposent en majorité à la conscription et veulent que le Canada agisse comme un pays indépendant et non pas comme une colonie britannique. 28 août 1917 : Sans tenir compte de l'opposition des Québécois, le gouvernement Borden vote le «Military service Act» qui rend le service militaire obligatoire pour tous les sujets britanniques mâles du Canada, âgés entre 20 et 25 ans. Des manifestations ont lieu à travers le Québec. 2 avril 1918 : Lors d'une manifestation anti-conscription à Québec, l'armée ouvre le feu sur la foule tuant ainsi 5 personnes et en blessant 70. La police en arrête 58 autres. L'enquête du coroner démontre plus tard que ces hommes étaient de simples piétons qui ne participaient pas à la manifestation. Au printemps 1917, lors de la conférence impériale de Londres, le premier ministre Borden subit de lourdes pressions des Britanniques pour imposer la conscription. Le 29 mai, il dépose à la Chambre des communes du Canada le projet de loi, qui est approuvé le 24 juillet par 102 voix contre 44. Le gouvernement Borden suspend les droits civils et plusieurs citoyens sont emprisonnés sans procès.

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10 septembre 1939 : Le Canada déclare la guerre à l'Allemagne et commence à envoyer des troupes en Europe. Une majorité de Québécois refusent d'aller se battre. 9 janvier 1941: Le cardinal Villeneuve, archevêque de Québec, prend parti pour la politique de guerre du gouvernement Mackenzie-King. En collaboration avec le service de propagande fédéral, il organise une journée de mobilisation qui vise à donner au conflit des allures de guerre sainte. Le discours de Villeneuve suscite une forte opposition chez les Canadiens français et provoque une vague d'anticléricalisme, 19 ans avant la Révolution Tranquille! 27 avril 1942 : Le plébiscite pose la question suivante aux Canadiens : «Consentez-vous à libérer le gouvernement de toute obligation résultant d'engagements antérieurs restreignant les méthodes de mobilisation pour le service militaire?» 71,2% des Québécois répondent NON mais les 8 autres provinces donnent une majorité de 63,7% au OUI. Il y aura donc conscription, que le Québec le veuille ou non.

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Septembre 1942 : Fondation du «Bloc populaire canadien» par Maxime Raymond, un parti fédéral qui réunit les opposants de la conscription. André Laurendeau en devient le secrétaire. 12 mai 1944: La GRC ouvre le feu et abat Georges Guénette, un jeune conscrit déserteur en fuite. Réfugié chez son père, le jeune homme de 24 ans tentait de s'enfuir par une fenêtre pour échapper aux policiers. Malgré les avertissements de ces derniers, il continue de courir. Il est abattu de sept balles dont une en plein coeur. L'enquête subséquente révéla que les policiers n'étaient pas autorisés à tirer dans ce cas et des témoins révélèrent que les policiers auraient pu rattraper Guénette sans utiliser leurs armes. La sombre affaire fut dénoncée avec fureur dans les journaux francophones.


OCCUPATION NAZISTE EN FRANCE PAR LE ROI EDOUARD V111
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ÉDOUARD VII (1841-1910) : En 1874, avant de monter sur le trône, en son titre de Prince de Galles, Franc-Maçon il devient Grand_Maître de la Grande Loge Unie d'Angleterre., lors d'une cérémonie tenue au Royal Albert Hall. Il nomme ses deux frères, le duc de Connaught et le duc d'Albany, Premier et Second Grand Surveillant. La franc-maçonnerie anglaise connaît un grand essor sous son règne.
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EDOUARD VIII (1894-1972) : roi d'Angleterre 1936 . Initié Franc-Maçon, en 1919, à la Loge "Household Lodge 261"

Mort en Angleterre le 28 mai 1972

roi de la Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord et des dominions britanniques et empereur de l'Inde

aussi appelé (de 1936) Prince Edward Albert Christian George Andrew David Patrick, duc de Windsor,

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1930, le roi George V lui donna Fort Belvédère, une maison du 18e siècle appartenant à la couronne, près de Sunningdale, dans le Berkshire. Le Fort, comme il a toujours appelé, lui donna la vie privée et le sens de faire une maison qui était entièrement sienne.... Il commença bientôt à utiliser ce Fort comme un refuge contre le monde officiel qu'il n'aimait pas plus.


1936, Édouard était le chef l' Eglise d'Angleterre

Après la chute de la France, il s'est rendu à Madrid, où il a été soumis à un plan chimérique des nazis à refaire son roi et de l'utiliser contre le gouvernement mis en place en Grande-Bretagne.

Quand il arriva de Lisbonne, le Premier ministre britannique Winston Churchill lui a offert le poste de gouverneur des Bahamas, alors colonie britannique dans les Antilles, et il y demeura pendant toute la durée de la guerre (1940-1945).

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Le sympathisant du régime Nazi

Le Prince de Galles était un raciste notoire dès son plus jeune âge. Il eut même dit, à propos des indigènes australiens, qu’ils sont “la forme de vie la plus révulsante” et “la forme la plus dégradée d’humanité”. Vous pouvez donc commencer à apercevoir une facette supplémentaire d’Edward, aussi ignominieuse soit-elle.

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En Allemagne. il passa en revue des troupes de SS, rencontra Hitler, et fit d’ostensibles saluts Nazis.

Durant la seconde guerre mondiale, le roi Edouard faisait parti de l'équipe d'Hitler durant l'occupation en France par les nazis, et voyant que sa sympathie pour l’Allemagne Nazie ne désemplissait pas,et pour cacher au Monde Entier l'allégeance de Londres avec Hitler, le gouvernement Britannique força Edward à quitter Paris occupée, et le mirent à l’écart en lui donnant les Bahamas à gouverner. Une fois la guerre terminée, son existence ne fut plus que mondanités, et ce jusqu’à son décès, et jamais il ne fut accusé par nos Médias de CRIMINEL CONTRE L'HUMANITÉ.
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NIXON MAFIEUX ET LE ROI ÉDOUARD NAZISTE
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Et c'est cette fleur de l'OPIUM appelée coquelicot pour tromper tout le monde que l'Angleterre a choisi comme emblême de la fin de cette Première Guerre Mondiale: ironie ou à moins qu'ils nous rient carrément en pleine face et on ne s'en aperçoit pas

À l'été, des manifestations violentes ont lieu à Montréal. Armand Lavergne, avocat de Québec connu pour son opposition à la guerre, prêche ouvertement la désobéissance civile. Le 9 août, la maison de Hugh Graham, propriétaire du Montreal Star proconscriptionniste, est dynamitée à Cartierville. En septembre, d'autres manifestations ont lieu à Sherbrooke où l'on saccage des bureaux d'avocats favorables à la conscription.

Des élections sont annoncées pour le 17 décembre. Les conservateurs et une partie des libéraux s'allient contre les libéraux restés fidèles à Wilfrid Laurier dans une campagne électorale inégale. Borden remporte largement l'élection mais, au Québec, seulement trois de ses députés ont été élus, tous dans des comtés largement anglophones.

Le combat se transporte alors à l'Assemblée législative du Québec. Le 21 décembre, le député libéral de Lotbinière, Joseph-Napoléon Francoeur, dépose cette motion à la veille de la clôture des Fêtes: « Que cette Chambre est d'avis que la province de Québec serait disposée à accepter la rupture du pacte confédératif de 1867 si, dans les autres provinces, on croit qu'elle est un obstacle à l'union, au progrès et au développement du Canada ». On en discute durant tout le mois de janvier puis le premier ministre Lomer Gouin la fait retirer déclarant que, malgré ses imperfections, la Confédération canadienne « est encore le meilleur mode de gouvernement que notre pays puisse adopter ». Le public est déçu de la prise de position peu énergique de Gouin.

À l'hiver 1918, plusieurs conscrits préfèrent se cacher dans les greniers ou se sauver dans les bois plutôt que de s'enrôler. Ottawa engage alors des policiers spéciaux, chargés de mettre la main sur ces déserteurs. Le zèle intempestif de ceux que les Québécois commencent à appeler les spotters est à l'origine directe de l'émeute de Québec.


28 mars 1918[modifier]

À 20 heures 30, en ce Jeudi Saint, Joseph Mercier, 23 ans, est arrêté par trois policiers fédéraux au moment où il entre dans la salle de quilles du Cercle Frontenac, dans le quartier Saint-Roch. Mercier leur a affirmé qu'il possède des papiers d'exemption, mais il ne les a pas sur lui. Il est emmené au poste de police situé tout près, sur la rue Saint-François, avec trois autres personnes arrêtées dans la salle de quilles. Plus tard, son père viendra le libérer apportant avec lui les papiers.

La foule, ameutée par la nouvelle, commence à s'agglutiner autour du poste. Bientôt, environ 2000 personnes se mettent à lancer différents projectiles sur le bâtiment. Le chef de police téléphone au général Philippe Landry, commandant du cinquième district militaire, pour lui demander de l'aide. En attendant, le maire de Québec, Henri-Edgar Lavigueur, tente en vain de calmer les gens.

Les spotters, qui ont arrêté Mercier, se sauvent par une porte en arrière du bâtiment. Deux d'entre eux se réfugient dans le bâtiment voisin, l'école des Frères des Écoles chrétiennes de Saint-Roch. L'autre entre dans un tramway, mais est aperçu par une partie de la population qui le renverse. Le policier réussit tout de même à s'enfuir. Pendant ce temps, les policiers municipaux fuient du mieux qu'ils le peuvent, laissant le poste à l'abandon.

29 mars 1918[modifier]

En début de soirée, 3000 personnes, venues du quartier Saint-Roch, montent à la Haute-ville, en chantant le Ô Canada et La Marseillaise. Ils pénètrent dans le Vieux-Québec et commencent par bombarder de projectiles les bâtiments du Chronicle et de l' Événement, des journaux connus pour leur position proconscriptionniste. Puis ils reviennent sur leurs pas, se dirigeant vers l' Auditorium (le Capitole de Québec d'aujourd'hui), où sont classés les dossiers des conscrits. Ils cassent les fenêtres du bâtiment, pénètrent à l'intérieur, jettent les dossiers du registraire par la fenêtre, brisent le mobilier et finissent par mettre le feu. Les pompiers qui tentent de l'éteindre sont incapable de faire leur travail à cause du sabotage de leurs tuyaux.

Pendant ce temps, Lavigueur a appelé le général Landry pour qu'il vienne rétablir l'ordre. L'armée s'installe sur la place d'Youville en face de l'Auditorium. Au lieu de lire l'acte d'émeute, le maire tente d'apaiser la foule qui finit par se disperser. Il y avait alors 15,000 manifestants sur la rue Saint-Jean et la place d'Youville.

30 mars 1918[modifier]

Le premier ministre Borden, mécontent des derniers événements, décide d'envoyer des renforts à Québec. Venus d'Ontario et de la Nouvelle-Écosse, ces hommes, qui ne connaissent pas un mot de français et méprisent la population locale, doivent arriver le lendemain. Ils sont commandés par le major général François-Louis Lessard, connu pour avoir réprimé brutalement une grève ouvrière en 1878 et pour avoir commandé un détachement de l'armée dans l'Ouest au moment de la rébellion de Louis Riel en 1885.

Dans la soirée, vers 20 heures, de nouveaux manifestants remontent à la Haute-ville et se rassemblent devant le manège militaire, sur la Grande Allée. Après la lecture de l'acte d'émeute, la cavalerie charge la foule qui se replie jusqu'à rue Saint-Jean. Plusieurs personnes sont blessées. Les manifestants répliquent en lançant des morceaux de glace et différents projectiles contre les cavaliers.

31 mars 1918[modifier]

À l'occasion de Pâques, le cardinal de Québec, Louis-Nazaire Bégin, rédige une lettre pastorale, se prononçant contre les troubles des derniers jours et en interdisant de nouveau. Cependant, certains curés de paroisse, dans leurs sermons, n'hésitent pas à mettre la faute des manifestations sur les spotters trop zélés.

Au cours de la journée, les 2000 soldats anglophones du général Lessard commencent à arriver par trains. Celui-ci décide d'installer son quartier général au Château Frontenac.

Le soir, un rassemblement a lieu à la place Jacques-Cartier. Bien que souffrant d'une forte fièvre, Armand Lavergne décide de s'y rendre et parvient à calmer les manifestants. Il leur promet entre autres que les spotters seront renvoyés et que l'armée ne patrouillera pas dans les rues le lendemain. Il a reçu cette assurance de l'officier Harold Machin, envoyé à Québec à titre d'enquêteur du gouvernement fédéral.

1er avril 1918[modifier]

Malgré les promesses de Lavergne, l'armée commence à patrouiller dans les rues dès le matin. Lavergne rencontre Lessard au Château Frontenac. Celui-ci lui dit qu'il n'a rien promis et qu'il est maintenant temps d'utiliser la force pour rétablir l'ordre.

À 20 heures, les troupes se tiennent autour de la place Jacques-Cartier et la foule, qui tentait de se rassembler, est refoulée dans les rues avoisinantes. Comme elle ne se disperse pas, le général Lessard décide de faire charger la cavalerie. La population réplique en lançant des projectiles, mais est tout de même obligée de reculer vers le boulevard Langelier et le quartier Saint-Sauveur. Sur la rue Saint-Joseph, toute proche, les troubles se multiplient après que l'armée ait vidé manu militari la principale salle de quilles de l'endroit.

Le major Mitchell fait alors installer une mitrailleuse au coin des rues Saint-Vallier, Saint-Joseph et Bagot où la foule a finalement abouti. Il crie en anglais aux gens de se disperser, mais, comme ils n'obtempèrent pas, il fait tirer. Les manifestants se dispersent en hurlant, mais il y a quatre morts et plusieurs blessés sur le terrain. Les quatre victimes sont Honoré Bergeron (49 ans), Alexandre Bussières (25 ans), Édouard Tremblay (23 ans) et Georges Demeule (15 ans). Quant aux blessés, le lendemain, un journaliste de la Patrie, après une rapide enquête, conclut qu'il y en a eu au moins 70. Chez les soldats, il y en a eu cinq, qui ont reçu différents projectiles.

62 personnes sont arrêtées au cours de la nuit. 58 d'entre elles sont relâchées au cours des jours suivants.

L'enquête du coroner[modifier]

Le lendemain, 2 avril, les soldats patrouillent dans toute la ville et des ordres sévères (« Shoot to kill! ») ont été donnés. Les arrestations continuent. Il y en a 200 pendant tout le mois d'avril.

Le 3 avril, la ville institue une enquête du coroner, présidée par Georges-William Jolicœur, pour déterminer la cause de la mort des quatre victimes. Le docteur Marois, qui a fait l'autopsie, déclare dans son témoignage, à la surprise de tous, qu'elles ont été tuées de balles explosives.

Le 13 avril, les conclusions de l'enquête sont rendues publiques. Le témoignage du docteur Marois n'est pas retenu. Les victimes n'ont pris aucune part aux troubles. Elles se sont tout simplement trouvées au mauvais endroit au mauvais moment. Les soldats qui ont tiré sont disculpés, car ils ont tout simplement accompli leur devoir dans la répression d'une émeute. Les troubles sont dus au manque de jugement des policiers fédéraux, les spotters, qui ont arrêté des gens sans raison valable et qui ont ainsi mis le feu aux poudres.

Les familles des victimes, bien qu'ayant fait une demande, n'ont jamais été indemnisées.


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BONAPARTE, Jérôme (1784-1860) Frère de Napoléon, roi de Westphalie de 1807 à 1813. Franc-Maçon reçu louveteau à 17 ans, à la loge "La Paix", orient de Toulon. En 1801 devient Grand Maître de la Grande Mère Loge de Westphalie. Francs-Maçons célèbres : franc-maçonnerie et loge .BONAPARTE Joseph Franc-Maçon

BONAPARTE, Joseph. (1768-1844) : Roi de Naples puis Roi d'Espagne avant de s'exiler plus tard aux États Unis. Initié Franc-Maçon à la loge "La Parfaite Sincérité", Marseille. Il devient, en 1804, Grand Maître du Grand Orient de France
.Francs-Maçons célèbres : franc-maçonnerie et loge . BONAPARTE, Louis Franc-Maçon
BONAPARTE, Louis (1778-1846) : Frère de Napoléon et père de Napoléon III. Franc-Maçon, il fut Grand Maître adjoint de 1803 à 1806, remplacé par Cambacérès




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