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jeudi 22 décembre 2011

JÉSUS: FAITS NOUVEAUX

Virtuellement chaque civilisation possède son dieu du feu ou dieu soleil. Les Égyptiens (et parfois les Romains) l’appellent Vulcain. Les Grecs l’ont appelé Chronos, tout comme les Phéniciens mais ils l’appelaient aussi Saturne. Les Babyloniens l’appelaient Tammuz (en tant que Nimrod ressuscité en la personne de son fils), Moloch ou Baal (comme l’appelaient aussi les druides). Tous ces titres étaient en fait les différents noms de Nimrod. Ce dernier est considéré le père de tous les dieux babyloniens.

Les sacrifices d’enfants.

Veuillez noter la pratique horrible qui est associée à l’adoration du dieu du feu (Nimrod, Saturne, Chronos, Moloch et Baal) dans les références suivantes tirées du livre Les deux Babylones d’Alexander Hislop, p. 231. « Maintenant, ceci est en concordance exacte avec le caractère du dirigeant suprême de ce système d’adoration du feu. Nimrod, en tant que représentation du feu dévorant, auquel les victimes humaines, tout particulièrement des enfants, étaient offertes en sacrifice, était considéré comme le grand dévoreur…il était, bien entendu, le vrai père de tous les dieux babyloniens ; et, qui par la suite a toujours été universellement considéré en tant que tel.

En tant que Père des dieux, il fut, comme nous l’avons vu, appelé Chronos. Tout le monde connaît l’histoire classique de celui qui simplement « dévorait ses fils aussitôt qu’ils naissaient ». (Lempriere Classical Dictionnary, Saturn)…Cette légende possède encore un sens plus profond ; toutefois, appliqué à Nimrod, dit « le Cornu », cela fait simplement allusion au fait que, en tant que représentation de Moloch ou Baal, les enfants étaient l’offrande la plus acceptable sur son autel. Nous possédons suffisamment de tristes preuves à ce sujet à partir des archives de l’Antiquité. « Les Phéniciens » disaient Eusèbe, sacrifiaient chaque année leurs nouveau-nés bien-aimés à Chronos ou Saturne. »

Mais pourquoi les sacrifices humains ont-ils une telle importance dans l’adoration de ce terrible dieu ? Quel bien les êtres humains pouvaient-ils espérer dans le fait de sacrifier leurs propres enfants ? Continuons : « …celui qui s’approchait du feu recevait une lumière de la part de la divinité » et « par ce feu divin toutes les taches dues aux générations précédentes pouvaient être effacées. » C’est la raison pour laquelle ils ont fait passer par le feu à Moloch leurs fils et leurs filles (Jér 32 :35). (Partout c’est nous qui traduisons). Aussi incroyable que cela puisse paraître, des êtres humains séduits croyaient réellement qu’ils plaisaient à leur « dieu » en sacrifiant leurs propres petits enfants innocents. Ils croyaient que le feu les purifiait du péché originel. La doctrine païenne énonçant la nécessité de passer du temps au purgatoire afin de purifier l’âme de tout péché tire son origine de cette croyance !




La crucifixion ? Jésus est le 16è dieu crucifié de l'antiquité. Le plus célèbre avant lui fut Krishna, en Inde

Revenons à l’ouvrage d’Arnaud d’Apremont. Selon lui, ” la première mention véritable du 25 décembre comme date de naissance de Jésus se trouve dans le calendrier de Philocalus, apparemment publié à Rome, en 345 “. Il précise : ” En 354, le pape Liberius désigne officiellement la fête des “Brumalia” du solstice d’hiver comme celle de la naissance de son Christ. ” Ajoutant : ” En 440, l’Église déclara que la célébration de la naissance du Christ était définitivement fixée au 25 décembre ; cette année-là, le pape Sixte III célébra la première messe de minuit. ” Après quoi, en 525, l’empereur ” Dionysius le Petit décida arbitrairement et révolutionnairement que la naissance de Jésus serait l’an I des calendriers et fixa, tout aussi arbitrairement, à l’an 754 la fondation de Rome (…) ; finalement, au XIIe siècle, Noël est devenue la grande fête de tout l’Occident chrétien “. Arnaud d’Apremont souligne : ” Les chrétiens, incapables d’éradiquer une fête païenne majeure, préférèrent la récupérer pour leur compte, de même qu’ils transformèrent les anciens dieux en saints tout en leur conservant leurs pouvoirs et lieux de culte. ” Il note qu’avec la Réforme et ” son retour à l’orthodoxie biblique, (…) Noël allait se trouver en butte à de violentes attaques “.

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